Des 50 compatriotes, Rabin Apavou n’en connaît que 7, hébergés dans l’hôtel 4 étoiles qui a accueilli quelques jours auparavant le premier groupe de touristes de la ligne directe, lequel est rentré à La Réunion sans anicroche. « D’abord, ils auraient pu m’appeler, pour vérifier l’information », jette Rabin Apavou, qui...
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