ll est un peu plus de 13 heures lorsque Robert Hébras pénètre dans le cimetière d’Oradour-sur-Glane par la porte centrale. Soutenu par sa petite-fille Agathe, le dernier survivant du massacre du 10 juin 1944 s’installe face au monument dédié aux 643 victimes. Nul ne sait ce qui se passe alors dans la...
Lisez tout l'articleSi le contenu du présent document viole l'un de vos droits, y compris celui du droit d'auteur, vous êtes prié de nous en informer immédiatement à l'adresse électronique suivante operanews-external(at)opera.com
Commentaires