« Quand le téléphone se met à parler dans leur langue, ils savent qu’ils peuvent utiliser leurs mots. Leur visage s’éclaire. » Rosalie Rousseau, médecin généraliste à Casson (Loire-Atlantique), décrit le soulagement des patients non francophones lorsqu’ils accèdent à l’interprétariat en consultation médicale. « Ça rend leur prise en charge possible....
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