On se serait cru revenu pile un an en arrière, à Caen, samedi soir. Mêmes maillots blancs qui s’étreignent, mêmes Gastien fils, Nsimba ou Magnin qui sautent en l’air et dansent, ce dernier, aujourd’hui, une béquille à la main, en moins : La Meinau, D’Ornano, même combat. Comme un air de déjà-vu...
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